ELLES ENTRENT DANS L’HISTOIRE DU FOOTBALL ! BRAVO À CETTE INCROYABLE ÉQUIPE AMÉRICAINE !
Chronométreur Officiel de l’édition 2019, Hublot félicite l’équipe gagnante des États-Unis pour sa performance durant cette brillante compétition et bien-sûr Alex Morgan, amie de la Maison et superstar du football mondial. Cette année, la Coupe du monde féminine a suscité un engouement sans commune mesure : vingt-quatre nations étaient engagées contre seize en 2011 ; on le savait depuis le mois de mars, les demi-finales et finale à Lyon se sont jouées à guichets fermés. La prédominance historique des Américaines, prouve que le football est définitivement un sport universel et qu’il est question de stéréotypes, de maturité de jeu et non de genre.
“Les femmes ont été exclues du foot pendant des décennies en Europe. L’exemple des Américaines est très instructif car il démontre le potentiel de ce sport pratiqué par les femmes, dès lors qu’on lui consacre les moyens, l’organisation et l’attention nécessaires. Les scores et l’aura planétaire d’Alex Morgan, amie d’Hublot en sont la preuve. Nous sommes heureux d’avoir participé à mettre en lumière les femmes et leur aptitude égale à faire vibrer la passion du football !”
Depuis la première édition de la Coupe du monde féminine de football en 1991, les États-Unis ont toujours occupé une place sur le podium. Lors de leur premier match de la compétition, le 11 juin dernier, ses joueuses se sont même permis d’établir un record mondial en pulvérisant la Thaïlande 13-0 à Reims, dont 5 tirés par Alex Morgan ! Ce quatrième sacre mondial les fait entrer un peu plus dans l’histoire. L’histoire d’une « machine à gagner » basée sur une autre culture du football et portée par l’extraordinaire volonté de vaincre. Simple ?
« Géant » qualifie bien les Etats-Unis dans le monde du football… au féminin. Trois victoires en sept éditions, quatre médailles d’or en six tournois olympiques, une compétition majeure chez les femmes. Depuis trente ans, les Américaines écrasent la concurrence, dotées d’une réserve de joueuses talentueuses alimentée par les écoles et les universités, dans un pays où, contrairement au reste du monde, le ballon rond a été longtemps considéré comme un sport de femmes et moins d’hommes. Une exception culturelle qui a déterminé la professionnalisation féminine rapide de ce sport, avant les pays européens, et une suprématie peu remise en cause.
Une hégémonie qui n’aura sans doute qu’un temps. Adversaire de poids, le Japon l’atteste par sa victoire en 2011 et sa présence en finale mondiale en 2015. En Europe, l’Allemagne, la Norvège ou la Suède précurseurs en matière de pratique féminine, sont désormais talonnées par l’Angleterre et la France. Professionnalisation et professionnalisme étant les seuls critères discriminants.
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